Bien sûr que vous savez que cette peur de grossir a de fortes chances de vous pousser plus rapidement que prévu vers la déchéance ultime.
Je vous en parle parce que cette peur horrible vous empêche bien souvent de prendre la décision d’arrêter de fumer.
C’est la peur la plus commune, la plus répandue, la plus partagée… et aussi la plus fausse.
Pourtant si je vous demandais de but en blanc :
« Vous préférez mourir ou grossir ? ».
Votre réponse serait évidente.
Maintenant… dans la vie réelle ?
99.999999999% choisissent de MOURIR plutôt que de grossir.
Oui, cette peur de grossir provoque à terme la mort prématurée de centaines de milliers de personnes tous les ans.
Le plus violent dans cette histoire de prendre du poids en arretant la cigarette ?
C’est qu’il n’y a aucune raison de grossir quand on arrête de fumer.
(je ne dis pas que ça n’arrive jamais, je vous explique après)
Je sais que c’est une idée largement répandue.
Et peut-être que vous-même avez pris 8kg à votre dernière tentative.
Ou vous connaissez sûrement quelqu’un qui a grossi en arrêtant de fumer.
Alors pourquoi tant de personnes grossissent en arrêtant de fumer ?
Simple : parce qu’elles n’ont jamais vraiment arrêté.
Enfin, elles ont bien arrêté de fumer (dans la douleur), mais elles n’ont pas pour autant stoppé leur addiction.
Donc le cerveau et le corps se vengent sur autre chose.
Voyez ça comme ça :
Votre cerveau c’est un enfant de 3 ans sur ce coup.
Un enfant de 3 ans avec doudou.
Ce que vous faites si vous arrêtez de fumer comme la majorité des personnes le fait ?
C’est que vous arrachez violemment le doudou de votre cerveau, sans rien lui expliquer … et sans rien mettre à la place.
(et ce n’est pas de vous mettre des patchs ou de boire un verre d’eau à chaque envie qui va y changer quoi que ce soit)
Résultat ?
Votre cerveau vous fait une colère monstre… et il remplace son doudou par tout ce qu’il peut.
Très souvent en sautant sur la nourriture… et en l’assimilant 2 fois plus mal.
La solution pour arrêter de fumer plus facilement en étant sûr de ne pas prendre un gramme (voire même en perdre) ?
C’est de faire en sorte que votre cerveau se libère lui-même de son doudou.
Qu’il en soit fier.
Qu’il en retire un max de bénéfices.
Qu’il devienne « un grand ».
Comment vous pouvez faire ça ?
En utilisant des méthodes qui ont depuis longtemps prouvées leur efficacité parce qu’elles respectent les étapes clés dont a besoin le cerveau pour changer, pour évoluer, pour apprendre.
Et vous pouvez également vous faire accompagner par un spécialiste de l’arrêt tabac en prenant rendez-vous sur cette page :
Vous allez y arriver.
Jérémy